tag:blogger.com,1999:blog-44141974980097868062024-03-19T04:16:07.062+00:00pas plus haut que le bordEncore et toujours, Bertrand Dicale écrit sur la musique (mais pas que)Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.comBlogger307125tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-19078827218364175352011-08-23T20:46:00.002+01:002011-08-23T20:49:42.078+01:00« Les chansons qui ont tout changé », de la radio, du papier, du net…<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMFsxCkLWhtCkvWgmOBekeAg9X_S6zrkNCGUidBuMHy7JbzTrBPOWIP25r4-23hPSDmGRzbhyphenhyphenClgH782ufYe1AgFeE0IPe9SvLaZejEkGCALQFL2pZ-wzp0lWXzLum8PMUwCFH5mK77Bw-/s1600/9782213662916-T.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 148px; height: 200px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjMFsxCkLWhtCkvWgmOBekeAg9X_S6zrkNCGUidBuMHy7JbzTrBPOWIP25r4-23hPSDmGRzbhyphenhyphenClgH782ufYe1AgFeE0IPe9SvLaZejEkGCALQFL2pZ-wzp0lWXzLum8PMUwCFH5mK77Bw-/s200/9782213662916-T.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5644140876057437202" /></a>Voilà, c’est presque fini à la radio. Depuis le 11 juillet sur France Info, ma chronique « Les chansons qui ont tout changé » passe neuf fois par jour, en même temps que l’on peut trouver en librairie, depuis fin juin, le livre <em>Les chansons qui ont tout changé</em>.
<br />Dans cette jolie histoire de radio et d’édition (France Info, les éditions Radio France, Fayard et puis moi), j’ai aussi adoré que l’on mette en place un site uniquement pour les lecteurs du livre, avec des chroniques supplémentaires, que l’on n’a pas diffusées à l’antenne : <em>Maréchal nous voilà, Les Filles de Camaret </em>et <em>Au clair de la lune</em>. Et puis d’autres petites choses amusantes. L’adresse : <a href="http://www.france-info.com/chansons">www.france-info.com/chansons</a>. Le mot de passe ? auclairdelalune. Et on peut y écouter aussi toutes les chroniques diffusées à l’antenne.
<br />
<br />Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com10tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-83790683933198943822011-04-10T00:58:00.002+01:002011-04-10T01:08:34.034+01:00Juliette Gréco, une fois encore, mais certes pas la dernière<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjs25Rxlict44nvVqT806ehMhYXUeSgOJh5AXMcgDnYKIZWJgjBPWeq0_poqvvBkPfnmP1qqvcI-Atmd2KGbvIDsmmq00vBBKpijHCn4EyCoSmez1LisNt37MneKL0prYWvR75mIadwdMLx/s1600/greco+plon.JPG"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 122px; height: 200px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjs25Rxlict44nvVqT806ehMhYXUeSgOJh5AXMcgDnYKIZWJgjBPWeq0_poqvvBkPfnmP1qqvcI-Atmd2KGbvIDsmmq00vBBKpijHCn4EyCoSmez1LisNt37MneKL0prYWvR75mIadwdMLx/s200/greco+plon.JPG" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5593739983316118082" /></a><br />Il y aura dix ans en octobre prochain que j’ai publié <em><a href="http://www.amazon.fr/Juliette-Greco-Bertrand-Dicale/dp/2709621029/ref=sr_1_2?ie=UTF8&s=books&qid=1302393327&sr=8-2">Gréco, les vies d’une chanteuse</a>, </em>ma première biographie – un pavé. Puis j’ai écrit, il y a deux ans, <a href="http://www.amazon.fr/Juliette-Gr%C3%A9co-Linvention-femme-libre/dp/2845973381/ref=sr_1_2?ie=UTF8&s=books&qid=1302393542&sr=8-2"><em>Juliette Gréco, l’invention de la femme libre</em></a>, grand album très illustré. <br />Voici depuis quelques jours <a href="http://www.amazon.fr/Juliette-Greco-une-vie-libert%C3%A9/dp/2262033978/ref=sr_1_3?ie=UTF8&s=books&qid=1302393327&sr=8-3"><em>Juliette Gréco, une vie en liberté</em></a>. Grâce à Charlotte Liebert (belle éditrice, belle amie), ma biographie est paru chez Tempus, belle collection de poche où mon livre fait 744 pages. La bio d’origine, des corrections, des apports çà et là de la grécologie récente (les enseignements de <a href="http://www.amazon.fr/Juliette-Greco-une-vie-libert%C3%A9/dp/2262033978/ref=sr_1_3?ie=UTF8&s=books&qid=1302393327&sr=8-3">l’intégrale sur laquelle j’avais travaillé en 2003</a>) et surtout trois chapitres qui racontent les dix dernières années.<br />Et ensuite ? Comme pour me préparer à une nouvelle édition, Juliette Gréco travaille à son prochain album.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-74742209034497878052011-03-27T12:24:00.002+01:002011-03-27T12:41:06.376+01:00Brassens, encore Brassens, dix fois BrassensAprès le chantier de <a href="http://www.amazon.fr/gp/product/2081252228/ref=s9_simh_gw_p14_d0_i1?pf_rd_m=A1X6FK5RDHNB96&pf_rd_s=center-2&pf_rd_r=198XEHJVAB4GVJGEMQFG&pf_rd_t=101&pf_rd_p=463375533&pf_rd_i=405320"><em>Brassens ?</em></a>, après ces derniers jours très bellement éclairés par mes visites successives à la très formidable expo <em>Brassens ou la liberté </em>à la Cité de la Musique, je suis de retour à un grand chantier brassennien : <a href="http://www.cite-musique.fr/francais/evenement.aspx?id=11246">mon Collège de la Cité</a>, qui commence mercredi prochain. <a href="http://www.cite-musique.fr/pdf/college/100702_brassens_1011.pdf ">Brassens en dix fois deux heures</a>, avec une foultitude de documents sonores glanés ces dernières années et que je vais faire écouter aux joyeux participants. Il y a deux ans, je crois que nous avions pris énormément de plaisir avec le Collège consacré à Serge Gainsbourg. Nous avions beaucoup écouté de raretés et beaucoup échangé sur le beau Serge. J’ai hâte que l’on commence avec le grand Georges.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-51669207766346457412011-03-27T11:49:00.001+01:002011-03-27T11:52:42.408+01:00Le printemps, encore le printempsPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2011-03-23-le-printemps-quel-printemps-523855-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, encore des chansons de printemps : <br /><em>Premier printemps</em>, André Claveau, 1950<br /><em>L’Hymne au printemps</em>, Félix Leclerc, 1951<br /><em>Printemps à Rio</em>, Dario Moreno, 1952<br /><em>Un nouveau printemps tout neuf</em>, Gilbert Bécaud, 1953<br /><em>Printemps d’Alsace</em>, Catherine Sauvage, 1953<br /><em>Enfin le printemps</em>, Philippe Clay, 1954<br /><em>Dès que le printemps revient</em>, Hugues Aufray, 1964<br /><em>Le Printemps sur la colline</em>, Dalida, 1965<br /><em>Au printemps de quoi rêvais-tu ?</em>, Jean Ferrat, 1969 <br /><em>Le Printemps</em>, Michel Fugain & le Big Bazar, 1976<br /><em>Le Printemps</em>, Gérard Delahaye, 1978<br /><em>Y’a plus de printemps</em>, Gérard Lenorman, 1979<br /><em>Neige de printemps</em>, Buzy, 1998<br /><em>Revoir un printemps</em>, IAM, 2003<br /><em>C’est le printemps</em>, Fred Jimenez, 2007 <br /><em>Printemps</em>, Cœur de Pirate, 2009<br />Évidemment, il en manque. C’est à vous…Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com6tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-79567732077527394872011-02-27T15:51:00.001+00:002011-02-27T15:58:32.189+00:00Gainsbourg, Gainsbourg, Gainsbourg, Gainsbourg…Pour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2011-02-25-gainsbourg-heros-de-chansons-517977-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, une précision d’abord : la chanson de Serge Lama que j’ai évoquée et que l’on ne peut passer à l’antenne, c’est <em>La Musique et l’Amour</em>. Citation : <br /><br /> <br /><em>« Je lui mets en sourdine une cassette de Gainsbourg<br />Et sur la Moleskine, je la...<br />L'album <em>Love On The Beat </em>en trente-trois petits tours<br />Je me suis fait toutes les faces de Gainsbourg<br />Elle me dit « Change de disque, ça me met mal à l'aise »<br />J'obtempère aussitôt, je la re... »<br /> La Musique et l’Amour</em>, Serge Lama, 1986<br /><br /><br /><br /><br /><br />Et puis aussi toutes ces chansons qui l’évoquent à titre posthume – et j’en oublie !<br /><br /><em>« C'est pas la Javanaise<br />A Gainsbourg, n'en déplaise<br />C'est une fille de Paris »<br /> C’est pas la Javanaise</em>, Pascal Sevran, 1996<br /><br /><em>« Je suis venu te dire que tu t'en vas, tu vois<br />La p'tite nuance entre Gainsbourg et moi<br />Est immense, mon amour<br />Je suis venu te dire et c'est toi qui t'en vas »<br /> La Petite Nuance</em>, Nicolas Bacchus, 1999<br /><br /><br /><em>« À traîner sur les berges venez voir<br />On dirait Serge et Jane sur le Pont des Arts<br />Rive Gauche à Paris<br />Adieu mon pays »<br /> Rive Gauche</em>, Alain Souchon, 1999<br /> <br /><em>« Il est beau le vaurien<br />Le gentil troubadour<br />Dès le lendemain matin<br />Il ressemble à Gainsbourg<br />C'est dire si ça craint »<br /> J’aime pas l’amour</em>, Olivia Ruiz, 2003<br /><br /><em> « Les deux gros doigts jaunes foncés et gourds du roi des mots, Serge Gainsbourg, <br />Savaient-ils que ce poison emmènerait leur propriétaire au cimetière ? »<br /> La Cigarette</em>, Sanseverino, 2004<br /><br /><em> « A nos amours !<br />Qu'ils nous ressemblent<br />Je lève mon verre<br />A Serge Gainsbourg »<br /> L’Absinthe pour l’absent</em>, Stanislas, 2007<br /><br /><em>« Faut l'savoir-faire<br />L'art et la manière <br />(…) Un paradis<br />Sur du velours<br />À la dandy<br />À la Gainsbourg »<br /> L’Art et la Manière</em>, Christophe Maé, 2007<br /><br /><em>« C'était le temps des bords de mer<br />Le temps des Gainsbourg, des Prévert<br />Je revois tes cheveux défaits<br />Dans la chambre d'hôtel tu jouais »<br /> Le Vent de l’hiver</em>, Raphaël, 2008Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-27056482368225396052011-02-24T21:39:00.003+00:002011-02-24T22:05:30.922+00:00« Brassens ? », Brassens !<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3wyV_4ay2h1Hde5KY4c4_BqJtUM2jCv7Pctzjt0wK19r8qoCN3SRtVXyES6W5OL3RVU0dVs8le_PmXZPYY3497J74hm85J2wMuCsPqXc08wcIpMXwX1HyooBsh2vgVgoVAWPssPG_g3W1/s1600/brassens.jpg"><img style="float:right; margin:0 0 10px 10px;cursor:pointer; cursor:hand;width: 127px; height: 200px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh3wyV_4ay2h1Hde5KY4c4_BqJtUM2jCv7Pctzjt0wK19r8qoCN3SRtVXyES6W5OL3RVU0dVs8le_PmXZPYY3497J74hm85J2wMuCsPqXc08wcIpMXwX1HyooBsh2vgVgoVAWPssPG_g3W1/s200/brassens.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5577380331042298722" /></a><br />Voici, il est en librairie : <em>Brassens ? </em>est paru hier. Des questions sur Georges Brassens, évidemment, sur son écriture, ses sources, sa morale, son rapport à la religion et à la politique. <br />Pas loin de quarante ans à écouter Brassens, pas beaucoup moins à y réfléchir. Et, je pense, un peu d’agacement devant le catéchisme brassensiste que l’on lit si souvent. <br />Et je suis bien content de prolonger cette aventure brassennienne à la Cité de la Musique pour un <a href="http://www.cite-musique.fr/francais/evenement.aspx?id=11246">Collège de la Cité </a>accompagnant l’expo <em>Brassens ou la liberté</em>.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-6145646371953582412011-02-13T07:56:00.001+00:002011-02-13T07:59:15.088+00:00Espèce d’espacePour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2011-02-11-a-la-conquete-de-l-espace-515122-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, il y aurait quelques autres chansons françaises sur l’espace, son rêve et - à l'occasion - ses naufragés, comme <a href="http://www.deezer.com/listen-8017639"><em>Terre lune </em></a>de Boris Vian chanté par Magali Noël, ou des visions singulières née du mythe spatial comme <em>Femme fusée </em>de Gérard Manset. Et évidemment le mythe tel que vu dans le rock, avec évidemment, par exemple, <a href="http://www.deezer.com/listen-3098508"><em>Space Oddity </em></a>de David Bowie. Et pas mal d’autres…Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-51789229579335672622011-01-22T16:39:00.001+00:002011-01-22T16:42:23.856+00:00Eddie Barclay, RIP dans cette chansonPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2011-01-23-en-souvenir-d-eddie-barclay-509809-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, une autre chanson dans laquelle le bel Eddie Barclay est cité, <em>Le Tube à Léo</em>. Au demeurant, ce n’est pas une chanson sans intérêt, et bien au contraire. On l’entend <a href="http://www.bide-et-musique.com/song/4967.html">sur Bide & musique</a>, avec quelques commentaires qui éclairent sur le « groupe » qui signe le 45 tours, Léo & Cie. <br />Et, pour se rafraichir la mémoire ou éclairer sa lanterne quant au sujet qui nous occupe, on peut aller <a href="http://www.rfimusique.com/musiquefr/articles/065/article_15481.asp">là</a>.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-64909141845686688332011-01-16T13:04:00.002+00:002011-01-16T13:06:16.139+00:00Oiseaux morts, allez dire…Pour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2011-01-13-la-mort-des-oiseaux-508195-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, une chanson en plus, qui me terrifie et que je n’ai pas incluse, <a href="http://www.deezer.com/listen-2712461"><em>Coiffeur d’oiseaux </em></a>de Dionysos, sur l’album <em>Western sous la neige</em>. Et le regret qu’Etienne Roda Gil s’en soit tenu aux poissons. J’ose rêver qu’<em>Oiseaux morts </em>aurait mieux sonné que <a href="http://www.deezer.com/listen-3517369"><em>Poissons morts</em></a>.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-50738741798516246972011-01-11T20:56:00.002+00:002011-01-11T21:05:43.599+00:00Je suis métis et j’en parle<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEho3jI4xzKuRGNiMeMD2wEhmL4Y1lZOJdELH0ipwrftPh2fCDoL3ubzlCHWzKVpLQ8ipMkG4nxoqBZiayGePOnlrW94DoAuaASVryGR5VoLIKfb1ohJvzyx_xwwanHmhwj3q5Mydn4pb3nG/s1600/Maudits+metis.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 127px; height: 200px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEho3jI4xzKuRGNiMeMD2wEhmL4Y1lZOJdELH0ipwrftPh2fCDoL3ubzlCHWzKVpLQ8ipMkG4nxoqBZiayGePOnlrW94DoAuaASVryGR5VoLIKfb1ohJvzyx_xwwanHmhwj3q5Mydn4pb3nG/s200/Maudits+metis.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5561037281598042450" /></a>Ce mercredi 12 janvier paraît un livre qui m’a coûté beaucoup à écrire mais c'est peut-être le plus important, pour moi comme pour les miens.<br /><br />Il s’intitule <em>Maudits métis </em>et il parle de ma famille (mais pas que de ma famille), de la France et des Antilles (mais pas que de la France et des Antilles) et des grands principes (mais pas que des grands principes). Ce n’est pas un livre particulièrement optimiste. Ce n’est pas un livre qui ne m’apportera que des compliments. Ce n’est pas un livre très politiquement correct, je crois. <br /><br />Je suis déjà allé, notamment, en parler hier chez <a href="http://www.dailymotion.com/video/xghzbo_bertrand-dicale_news">Audrey Pulvar sur France Inter</a>. Aujourd’hui, j’en ai parlé chez <a href="http://radiofrance-blogs.com/bernard-thomasson/2011/01/11/est-on-tous-metis/">Bernard Thomasson sur France Info</a>. Demain mercredi, j’en parle chez <a href="http://www.franceculture.com/personne-tewfik-hakem-et-jacques-munier.html">Tewfik Hakem sur France Culture</a>. Et puis sur d’autres radios, et à la télé, et dans des journaux, et aussi <a href="http://www.fnac.com/Paris-Forum-des-Halles/Qu-est-ce-qu-etre-Metis-Rencontre-avec-Bertrand-Dicale/cp4075/w-4?SpaceID=74">à la Fnac des Halles la semaine prochaine</a>. <br /><br />D’habitude, je ne parle jamais ici de ma promo. Mais cette fois-ci, ce n’est pas pareil : j’ai franchement l’impression de parler pour d’autres, qui n’ont pas la chance de pouvoir écrire des livres pour dire à quel point cette situation (puisque ce n’est pas une race, un peuple, une ethnie, une maladie, une tribu, un parti, une coterie, un gang ou un complot) est curieuse à vivre – et « curieuse » est un euphémisme.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com13tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-91466866928516799792011-01-09T07:41:00.001+00:002011-01-09T08:05:05.977+00:00Un hymne si proche, si loinPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2011-01-09-mitterrand-quinze-ans-deja-506689-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, je sais déjà qu’il faut une adresse pour réécouter <em>Changer la vie</em>, la chanson du Parti socialiste écrite par Mikis Theodorakis et Herbert Pagani. <a href="http://www.bide-et-musique.com/song/2941.html">Cette version en ligne </a>est çà et là traversée par le jingle du site, mais je ne trouve pas d’autre streaming du dernier grand hymne politique que l’on ait écrit et chanté en France. Fin d’une époque, certes, mais pour quelle raison ? La mort des grands espoirs politiques ou la prise du pouvoir de la chanson que l’on écoute sur la chanson que l’on chante ? Il y a bien des manifs où les sonos sont si fortes avec leurs hymnes zebdesques qu’il faut hausser le ton pour parler entre manifestants… Mais il reste que je trouve curieux qu’aucune compil n’inclue <em>Changer la vie</em>. C’est plus facile de trouver le <em>Horst Wessel Lied</em>…Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-48618916206135675582010-12-12T12:54:00.002+00:002010-12-12T16:50:08.143+00:00Plaisir d’offrir, joie de recevoirPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-12-12-plaisir-d-offrir-joie-de-recevoir-502588-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, quelques bonus tracks. <br />D’abord, il faudrait <em>Des tas d’cadeaux </em>de Boris Vian, enregistré dans les années 50 par Béatrice Moulin, mais on ne le trouve pas sur Deezer. Mais la chanson est présente dans 10000 compils Vian. Des cadeaux chez Boris ? Évidemment, on pense au potlatch amoureux de <em><a href="http://www.deezer.com/listen-6034867">La Complainte du progrès (les arts ménagers). </a></em>Mais aussi une drôle de méditation gospélisante écrite avec Henri Salvador,<em> <a href="http://www.deezer.com/listen-2575014">Donne, donne, donne</a></em>, qu’on peut écouter dans la version du Grand Orchestre du Splendid.<br />Outre qu’il faut aussi écouter en entier <em><a href="http://www.deezer.com/listen-4901190">Variation sur le verbe donner </a></em>de Felix Leclerc, faire un petit détour chez Deezer avec une petite chose amusante sur l’arrière-cour de la joie de recevoir, <a href="http://www.deezer.com/listen-5084530"><em>Les Vilains petits cadeaux</em></a>, de Julien Girard.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-55149924640096814812010-12-05T14:43:00.001+00:002010-12-05T14:46:05.825+00:00Affaire Cantat, deux ou trois derniers détailsDonc, pour poursuivre sur <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-12-05-retour-sur-l-affaire-cantat-500618-81-472.html">ma chronique de France-Info, ce dimanche</a>. Nous avons tous écrit tant et plus sur l’affaire Cantat et je ne crois pas avoir grand-chose à rajouter <a href="http://www.lefigaro.fr/actualites/2007/10/15/01001-20071015ARTFIG90125-cantat_un_grand_frere_emporte_par_le_crime.php">à tout cela</a>.<br />Des explications de textes quant aux chansons de cette chronique ? Bizarrement, elles ont été assez difficiles à obtenir. Axelle Red m’avait dit, quand je l’avais interrogée sur Utopie : « Je ne voulais pas parler de cette affaire spécifiquement, mais je voulais un exemple de crime passionnel – il y aura toujours des couples qui s’aiment et qui se déchirent, au-delà de cette histoire. » <br />Seul Christian Olivier m’avait dit avec une certaine franchise que le texte lui était venu très naturellement et qu’il avait bien dû admettre, comme après coup, que cela voulait dire quelque chose, comme si son inconscient d’auteur avait parlé en lieu et place de sa conscience de citoyen.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-31804342210750273772010-11-28T09:05:00.001+00:002010-11-28T09:11:03.636+00:00Toujours des médicamentsPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-11-22-medicaments-mythologiques-498801-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, quelques bonus tracks. <br />Outre le Gardénal chez Serge Gainsbourg, Pierre Perret, Serge Lama, Philippe Chatel, Alain Souchon, Daniel Balavoine et Patricia Kaas, on en trouve chez <a href="http://www.deezer.com/listen-1058929">Enzo Enzo</a>, chez <a href="http://www.deezer.com/listen-4763196">Hubert-Félix Thiéfaine</a>, chez <a href="http://www.deezer.com/listen-663236">Michel Jonasz</a> – mais il est parfois très discret.<br />Et évidemment écouter en entier <a href="http://www.deezer.com/listen-2148081"><em>Cresoxipropanédiol en capsule </em></a>par Ginette Garcin.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-87497303371591555482010-11-13T18:31:00.002+00:002010-11-13T18:38:05.649+00:00Être ou ne pas être ministrePour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-11-09-etre-ministre-ou-pas-496242-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, suscitée par l’ambiance de remaniement et les supputations de postes ministériels qui concernent les uns ou les autres, je dois dire combien je trouve délectable cette chanson de Béranger, <em>À mes amis devenus ministres</em>, qui clôt la séquence et qu’il faut écouter et réécouter <a href="http://www.deezer.com/listen-3473539">dans la version de Germaine Montero</a>. Il y avait eu il y a quelques années <a href="http://www.lehall.com/evenement/beranger/index1.html">des entretiens du Hall de la Chanson sur Béranger</a>, auxquels j’avais participé, notamment au côté de mon camarade Claude Duneton. Et, puisque l’on parle de Béranger, on parle forcément de <a href="http://www.deezer.com/listen-3504925"><em>1829</em></a>, le formidable album à lui consacré par Jean-Louis Murat, <a href="http://www.rfimusique.com/musiquefr/articles/063/article_15422.asp">lors de sa si féconde année 2005</a>. <br />Par ailleurs, il faudrait aussi réécouter in extenso <a href="http://www.deezer.com/listen-2425293"><em>La Révolution </em></a>par Léo Ferré en 1969 à Bobino, dont j’ai passé quelques secondes dans la chronique. Un sommet de chanson sur-engagée, qui plonge à pleins bras dans l’actualité immédiate. De la chanson et du chansonnier…Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-46705080187382887902010-11-06T20:23:00.002+00:002010-11-06T20:38:21.344+00:00Moi mon colon, celle que j’préfère…Pour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-11-01-la-guerre-que-l-on-prefere-494620-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, quelques ajouts sur cette guerre de 14-18 qui stimule tant nos chanteurs. D’abord, deux chansons presque jumelles, <em><a href="http://www.deezer.com/listen-2458257">Les Lettres</a> </em>de Maxime Le Forestier (1975) et <em><a href="http://www.deezer.com/listen-2440181">Une lettre oubliée </a></em>de Juliette (2005, avec la voix déjà curieusement d’outre-tombe de Guillaume Depardieu), à trente ans d’écart et avec une vérité également bouleversante. Ma collection de bromurines est pleine de minuscules instants de vie qui ont ces couleurs-là. Mais, d’ailleurs, le plus grand succès de l’édition française sur la Première Guerre mondiale n’est-il pas <em><a href="http://www.amazon.fr/Paroles-poilus-Lettres-carnets-1914-1918/dp/2277302457/ref=sr_1_6?ie=UTF8&qid=1289072677&sr=8-6">Paroles de poilus</a></em>, ce qui en dit long sur la fascination qu’exerce la parole simple de ces gens que la guerre a brisés – tous, d’une manière ou d’une autre. <br />Et puis, toujours et toujours et toujours et toujours <em><a href="http://www.youtube.com/watch?v=LiB7idu6MzU&feature=fvw">Louise </a></em>(1983), chanson bouleversante qui dit à la fois les souffrances des femmes, des domestiques, des gens de rien – et aussi des poilus, encore. Une occasion, au passage, de se souvenir de <a href="http://www.rfimusique.com/musiquefr/articles/130/article_18116.asp">Gérard Berliner</a>, récemment parti. <br />Mais peut-être faut-il ajouter au dossier la chanson la plus brillante que je connaisse sur cette période, sur son esprit et sur son âme, sur sa moelle et sur son sang : <em><a href="http://www.deezer.com/listen-2296837">Jaurès</a> </em>de Jacques Brel (1977). Mieux que des gros volumes de texte, mieux que de longs cours, une photographie saisissante de la brutalité et des contradictions de ce début de siècle. Et il y a une version de cette chanson peut-être plus bouleversante que celle de Brel, <a href="http://www.deezer.com/listen-316035">enregistrée par Erik Marchand </a>en 2006 sur son album <em><a href="http://www.rfimusique.com/musiquefr/articles/078/article_16371.asp">Unu, daou, tri, chtar</a></em>, œuvre d’une beauté roide et venteuse.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-21457153824859154872010-11-05T00:08:00.002+00:002010-11-05T00:10:53.369+00:00« Sans contrefaçon », par Pascal Nègre<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwCwpVKNOtFOX6_PhlJhTBaBbXGB_9xRCN4T99E4s8oKeR62wme1SVStxgJGe7XN82NazCgVdtWdL8wfgFFAOf9atJ7x2NAlBL5bfQ4Xh6u9uC0hz_XdDOJPJWSVU_ZUJkZQGp7WWXT8Hc/s1600/Couv+P.N%C3%A8gre9782213644219.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;width: 130px; height: 200px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwCwpVKNOtFOX6_PhlJhTBaBbXGB_9xRCN4T99E4s8oKeR62wme1SVStxgJGe7XN82NazCgVdtWdL8wfgFFAOf9atJ7x2NAlBL5bfQ4Xh6u9uC0hz_XdDOJPJWSVU_ZUJkZQGp7WWXT8Hc/s200/Couv+P.N%C3%A8gre9782213644219.jpg" border="0" alt=""id="BLOGGER_PHOTO_ID_5535851142599232754" /></a><br />Voici que partout on en parle sur les radios, dans la presse, dans la blogosphère et à partir de la semaine prochaine à la télé (superbe planning de promotion, tant le personnage aiguise la curiosité de mes confrères journalistes) : <em>Sans contrefaçon </em>par Pascal Nègre (avec la collaboration de moi, disent les petits caractères sous le titre) est en librairie depuis ce mercredi. Un commentaire ? Eh bien c’est le livre que j’avais envie de lire, dans lequel le plus brillant des patrons de maison de disques soulève le capot et montre tout. J’ai rarement autant appris en travaillant sur un livre, sur les grandes règles et la réflexion à long terme, autant que dans les petits détails pittoresques et les anecdotes pour dîners en ville.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-83551093709537603912010-10-30T23:25:00.002+01:002010-10-30T23:28:40.289+01:00La Toussaint des chanteursPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-10-25-la-toussaint-des-chanteurs-493331-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, juste deux chansons de plus, qui l’une et l’autre me touchent beaucoup. D’abord, <a href="http://www.deezer.com/listen-2568828"><em>Mon enterrement </em></a>de Béranger, qui a bien cent cinquante ans et qui sonne de manière très actuelle, avec beaucoup de traits très contemporains. L’interprétation d’Arnaud Marzorati, enregistrée il y a deux ans (j’avais beaucoup aimé <a href="http://pasplushautquelebord.blogspot.com/2008/01/le-sain-branger-darnaud-marzaroti.html">ce qu’il avait fait sur scène à l’époque</a>), est un peu lyrisante, mais elle ne manque pas de charme. <br />Et puis le très doux, le très tendre, le très rêveur <a href="http://www.deezer.com/listen-2250060"><em>Paradis des musiciens </em></a>de Danielle Messia. Je ne pense pas, d’ailleurs, que le fait qu’elle ait si tôt disparu ajoute quelque chose au côté poignant de cette chanson. Mais cela n’empêche pas que, si on ignore tout d’elle, il faut absolument <a href="http://www.rfimusique.com/musiquefr/articles/073/article_15950.asp">partir à sa découverte</a>.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-32625244819307375532010-10-24T12:44:00.000+01:002010-10-24T12:46:06.270+01:00Encore une cigarette…Pour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-10-20-cigarette-de-crise-492364-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, il faut bien dire que la cigarette a suscité beaucoup de chansons – des pires et des meilleures. Sans compter la pipe et le tabac à chiquer, depuis J’ai du bon tabac. J’en oublie forcément, sans compter les chansons qui, au passage, évoquent la question tabagique. <br /><br />Aldebert : La Complainte de l'ex-fumeur.<br />Aldebert : La Dame aux Camel Light<br />Annie Cordy : Cigarettes whisky et p'tites pépées<br />Annie Cordy & Bourvil : Café, tabac<br />Antoine : Un éléphant me regarde <br />Arabelle : No smoking<br />Barberousse : Lady Nicotine<br />Bernard Menez : J'aime pas les filles qui fument<br />Jane Birkin : Nicotine<br />Charden : 14 ans les Gauloises<br />Claude Nougaro : Prisonnier des nuages<br />Claude Nougaro : Insomnie<br />David McNeil : Deux mille deux cents cigarettes <br />David McNeil : Deux mentholées, trois mandolines <br />Adanowsky : Tuez-vous tuez-vous<br />Sarclo : British American Tobacco<br />Dave : La cigarette<br />Dick Annegarn : Nicotine queen<br />Dumont : Ta cigarette après l'amour<br />Eddy Mitchell : Fume cette cigarette<br />Eddy Mitchell : La première cigarette<br />Eliane Embrun : Si j'étais une cigarette<br />Léo Ferré : La Gitane<br />Léo Ferré : La pipe<br />Léo Ferré : Quand je fumerai autre chose que des Celtiques<br />Francis Lalanne : Fumée d'alcool<br />Serge Gainsbourg : Les cigarillos<br />Serge Gainsbourg-Catherine Deneuve : Dieu est un fumeur de havanes<br />Henri Tachan : Tabacs<br />Hubert-Félix Thiéfaine : 113e cigarette sans dormir<br />Hugues Aufray : Des femmes et du tabac<br />Jacques Higelin : Cigarette<br />Serge Lama : Seul avec ma cigarette<br />Les Excentriques: Fume, fume, fume <br />Les Missiles : Fume, fume, fume<br />Les Négresses Vertes : Les mégots<br />- M - : Je suis une cigarette<br />Yves Montand : Le mégot<br />Gillian Hills : Ma première cigarette<br />Michel Delpech : J’ai revu la cigarette<br />Julien Déniel : Je roule<br />Femmouzes T : T’es dans ma tête et sous ma peau<br />Femmouzes T : Fumeurs-non fumeurs<br />Merzhin : La Rue Calumet<br />Astonvilla: Ma blonde<br />Pierre Perret : Docteur<br />Pierre Perret : Mourir du tabac<br />Pierre Vassiliu : La pipe à papa <br />Renaud : Arrêter la clope<br />Henri Salvador : Ma pipe<br />Sanseverino : La cigarette<br />Sinclair : Je roule une cigarette<br />Sylvie Vartan : L’amour c est comme une cigarette<br />Valérie Lagrange : Trois cigarettes<br />Yves Simon : Les Gauloises bleuesBertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-45661375103670222232010-10-09T23:33:00.001+01:002010-10-09T23:38:20.293+01:00Socialisme et idéologies variésPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-10-07-socialisme-isme-isme-isme-489986-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, juste une petite anecdote au passage. Maxime Le Forestier raconte que, quand il a fait la première partie de Brassens à Bobino, le public applaudissait invariablement aux mêmes vers dans <em>Hécatombe</em>, quand Brassens chante <em>« Mort aux vaches/Mort aux lois, vive l’anarchie » </em>; et qu’invariablement il allait boire une gorgée après la chanson et, qu’invariablement, en passant près de Pierre Nicolas, lui disait : « ah les cons, ils ne comprennent rien à l’anarchie ».<br />Et j’ai souvenir de chansons bien raides sur leur socialisme, leur marxisme, leur révolution, leur vérité. Et parfois d’énigmes au cœur de ces années 70 au cours desquelles j’ai grandi. Pourquoi, chez un Gérard Delahaye si poète dans <a href="http://www.deezer.com/listen-4732747"><em>La Faridondaine</em></a> (une chanson que m’avait fait écouter mon copain Jacques Garde et qui compte parmi celles qui auraient pu changer ma vie ; je veux dire qu’elle suscitait de belles tentations) ou dans <a href="http://www.deezer.com/listen-2260154"><em>Lucie la paysanne</em></a>, trouve-t-on une bizarrerie aussi incommodante que <a href="http://www.deezer.com/listen-2845850"><em>Petite chanson pour Baader</em></a> ?Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-55309809312882271152010-10-03T11:37:00.002+01:002010-10-03T11:41:33.208+01:00Le moustique pique encorePour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-10-03-le-nouveau-visage-du-moustique-488277-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, je n’ai pas beaucoup de regrets cette semaine, à part peut-être <em><a href="http://www.deezer.com/listen-874585">Le Moustique</a> </em>de Richard Gotainer, traitement tout à fait idiosyncrasique du thème, et dont je me suis dispensé. Et il faut vraiment écouter tout en entier <a href="http://www.deezer.com/listen-227333"><em>Moustique</em></a> de Zao et surtout <a href="http://www.deezer.com/listen-3542655"><em>Les Moustiques</em></a> par Luis Mariano et Annie Cordy, dont je n’ai passé que des extraits forcément trop courts. Deux chansons denses, bourrées de notations passionnantes pour qui s’intéresse à l’humain sous le texte.Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-21451427862789030132010-09-26T13:03:00.002+01:002010-09-26T13:12:29.875+01:00Le mensonge, toujours si vraiPour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-09-26-mensonges-menteries-et-menteurs-486286-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France-Info</a>, il faut évidemment parler de quelques regrets, comme de n’avoir pas pris la chanson de Clarika intitulée <em><a href="http://www.deezer.com/listen-2330702">Je mens</a></em>, qui faisait double emploi dans le sens avec <em>Mentir </em>de Maxime Le Forestier : <br /><em>« Comme je respire, je mens,<br />Mon élixir, c'est le vent<br />Pour rien, pour dire, je mens<br />L'important, c'est mentir vrai<br />Comme je respire, je mens<br />Je vais, j'inspire l'air du temps<br />Pourquoi dire vrai, quand vraiment<br />La vie se vit mieux semblant »</em><br />Mais aussi le beau <em><a href="http://www.deezer.com/listen-5248308">Je mens </a></em>chanté par Juliette Gréco en 1953 :<br /><em>« Je mens<br />Pour m'étourdir<br />Effacer dans mes rêves<br />L'ombre d'un souvenir<br />Je mens<br />Face à la vie<br />Face au monde qui m'ennuie<br />Face à tout ce qui vit<br />Pour toi que j'aime éperdument<br />Pour toi, souvent je mens<br />Je mens<br />Je mens »</em><br />Mais, des baratineurs de comédie jusqu’aux pieux mensonges de <em><a href="http://www.deezer.com/listen-537665">Qu'est-ce que tu voulais que je lui dise</a> </em>de Bénabar ou à <em><a href="http://www.deezer.com/listen-921901">La Nuit je mens</a></em> d'Alain Bashung, ce thème est si vaste…Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-20516543818700337082010-09-19T12:00:00.002+01:002010-09-19T12:04:53.024+01:00« La Retraite », plus belle que la retraitePour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-09-19-retraites-et-retraites-484083-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France Info</a>, deux petits regrets-repentirs-choix bien obligés sur deux chansons qui n'y sont pas. D'abord j’aime beaucoup <em><a href="http://www.deezer.com/listen-3178860">Les Retraités</a></em>, la chanson de Thierry Stremler, pas follement gaie, il faut bien le dire. <br />Et plus encore, mais elle n’est pas tout à fait exactement dans le sujet du jour, <em><a href="http://www.deezer.com/listen-3611980">La Retraite</a></em> d’Allain Leprest. Texte magnifique, d’un optimisme désespéré, d’une lumière trop belle pour la vie – comme un rêve, mon Dieu ! Je ne suis pas tout à fait sûr que les derniers couplets arrivent souvent dans la vraie vie. Mais quelle beauté que celui-ci : <br /><em>« T'as beau dire qu'on nous rend le cœur<br />Une fois vidé du meilleur<br />Qu'ils ont pris le tronc et la force<br />Qu'ils ne rapportent que l'écorce<br />N'empêche c'est déjà moins con<br />Que soit consigné le flacon<br />Qu'après le festin on nous laisse<br />Les arêtes de la vieillesse<br />Le temps d'finir la cigarette.<br />La retraite ! »</em>Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-77266822650244304032010-09-12T15:11:00.002+01:002010-09-12T15:25:25.727+01:00Une bavure chez MireillePour prolonger <a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-09-10-vraies-bavures-et-violence-pour-rire-484073-81-472.html">ma chronique de ce dimanche sur France Info</a>, une petite remarque sur <em>Les Trois Gendarmes</em>, chanté en 1933 par Mireille, qui en avait composé la musique pour le texte de Jean Nohain. Je ne crois pas sur-solliciter le texte en disant qu’il raconte une histoire de ripoux. C’est aussi une chanson de plus qui parle de la violence faite aux femmes. <br />Les deux premiers gendarmes pillent son panier d’œufs, le troisième déchire sa robe et lui dit <em>« C'est toi que j'gobe/Viens par là, j'vais t'épouser ». </em>Certes, elle finit la chanson en disant qu’elle se marie avec lui, mais la description est néanmoins celle d’un viol. D’ailleurs, <a href="http://paroles.abazada.com/chanson,les-trois-gendarmes,22904.htm">lire le texte </a>sans la musique fait plutôt froid dans le dos. <br />J'ai un vague souvenir d'une autre chanson sur la même trame, mais j'ai un gros trou de mémoire...Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4414197498009786806.post-23862108920771220132010-09-05T12:44:00.002+01:002010-09-05T12:50:28.804+01:00Romanichels, roms, tziganes, manouches<span style="font-size:85%;">Pour prolonger </span><a href="http://www.france-info.com/chroniques-ces-chansons-qui-font-l-histoire-2010-09-03-roms-gitans-tziganes-482631-81-472.html"><span style="font-size:85%;">ma chronique sur France-Info aujourd’hui </span></a><span style="font-size:85%;">dans « Ces chansons qui font l’histoire » et les trois chansons qui y ont été diffusées, voici quelques autres chansons sur ou avec des Roms, des Gitans, des Manouches, par ordre à peu près chronologique. Il en manque, assurément…<br /><br /><em>Bohémienne aux grands yeux noirs</em> : Tino Rossi<br /><em>La Roulotte des gitans </em>: Rina Ketty<br /><em>Le Gitan et la fille </em>: Edith Piaf<br /><em>Gitane </em>: Francis Lopez<br /><em>L’Étrangère </em>: Léo Ferré, Sanseverino (texte de Louis Aragon)<br /><em>Prière bohémienne </em>: Félix Leclerc<br /><em>Tzigane </em>: Félix Leclerc<br /><em>Les Gitans </em>: Compagnons de la chanson<br /><em>Lis-moi dans la main tzigane </em>: Marie-José<br /><em>Le Tzigane </em>: Pia Colombo (texte de Boris Vian)<br /><em>Magali </em>: Robert Nyel<br /><em>Les Deux guitares </em>: Charles Aznavour<br /><em>Les Derniers tziganes</em> : Jean Ferrat<br /><em>Les Nomades</em> : Jean Ferrat<br /><em>Gitane </em>: Dalida<br /><em>Tzigane </em>: Dalida<br /><em>Bohémienne et diva </em>: Frédéric François<br /><em>Le Gitan qui rit tout le temps </em>: Gilbert Bécaud<br /><em>Maria Szusanna </em>: Michèle Bernard<br /><em>Le Gitan </em>: Daniel Guichard<br /><em>Salut manouche </em>: Renaud<br /><em>Gitans </em>: Francis Cabrel<br /><em>Les gens du voyage </em>: Gildas Arzel<br /><em>Bohémienne </em>: Notre Dame de Paris<br /><em>La Gitane </em>: Félix Gray<br /><em>Gitan </em>: Garou<br /><em>Bohémienne </em>: Marjo<br /><em>Le Manouche </em>: Zebda<br /><em>Les Gitans </em>: Mano Solo<br /><em>Johnny </em>: Bratsch<br /><em>Sur les chemins de la bohème </em>: La Rue Kétanou </span>Bertrand Dicalehttp://www.blogger.com/profile/08921798771977566891noreply@blogger.com0