samedi 13 novembre 2010

Être ou ne pas être ministre

Pour prolonger ma chronique de ce dimanche sur France-Info, suscitée par l’ambiance de remaniement et les supputations de postes ministériels qui concernent les uns ou les autres, je dois dire combien je trouve délectable cette chanson de Béranger, À mes amis devenus ministres, qui clôt la séquence et qu’il faut écouter et réécouter dans la version de Germaine Montero. Il y avait eu il y a quelques années des entretiens du Hall de la Chanson sur Béranger, auxquels j’avais participé, notamment au côté de mon camarade Claude Duneton. Et, puisque l’on parle de Béranger, on parle forcément de 1829, le formidable album à lui consacré par Jean-Louis Murat, lors de sa si féconde année 2005.
Par ailleurs, il faudrait aussi réécouter in extenso La Révolution par Léo Ferré en 1969 à Bobino, dont j’ai passé quelques secondes dans la chronique. Un sommet de chanson sur-engagée, qui plonge à pleins bras dans l’actualité immédiate. De la chanson et du chansonnier…

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