La Toussaint des chanteurs
Pour prolonger ma chronique de ce dimanche sur France-Info, juste deux chansons de plus, qui l’une et l’autre me touchent beaucoup. D’abord, Mon enterrement de Béranger, qui a bien cent cinquante ans et qui sonne de manière très actuelle, avec beaucoup de traits très contemporains. L’interprétation d’Arnaud Marzorati, enregistrée il y a deux ans (j’avais beaucoup aimé ce qu’il avait fait sur scène à l’époque), est un peu lyrisante, mais elle ne manque pas de charme.
Et puis le très doux, le très tendre, le très rêveur Paradis des musiciens de Danielle Messia. Je ne pense pas, d’ailleurs, que le fait qu’elle ait si tôt disparu ajoute quelque chose au côté poignant de cette chanson. Mais cela n’empêche pas que, si on ignore tout d’elle, il faut absolument partir à sa découverte.
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