mercredi 8 octobre 2008

Brassens et Dieu, Brassens et Dieu, Brassens et Dieu...

On dit souvent que personne n'a autant cité Dieu dans ses chansons que Georges Brassens. Ah bon? Et dans quelles chansons?
1952 : Corne d’Aurochs, Le Fossoyeur, La Chasse aux papillons, Le Bricoleur ;
1953 : Brave Margot, Il suffit de passer le pont, P… de toi ;
1954 : Je suis un voyou, La Mauvaise Herbe ;
1956 : Le Nombril des femmes d’agent ;
1957 : La Marche nuptiale ;
1958 : Le Vieux Léon, La Femme d’Hector, La Ronde des jurons ;
1960 : Embrasse-les tous, L’Orage, Le Mécréant ;
1962 : La Ballade des cimetières, Dans l’eau de la claire fontaine ;
1965 : Saturne, Le Petit Joueur de fluteau, Le Grand Pan, Les Deux Oncles ;
1966 : Jeanne, La Fessée, Le Grand Chêne, Le Moyenâgeux, Le Pluriel, Les Amours d’antan ;
1969 : La Religieuse, Misogynie à part ;
1970 : Jean rentre au village ;
1972 : Mourir pour des idées, La Princesse et le Croque-notes, La Ballade des gens qui sont nés quelque part, Fernande ;
1976 : Lèche-cocu, Mélanie, Tempête dans un bénitier, Trompe la mort, Le Boulevard du temps qui passe ;
1979 : Elégie à un rat de cave ;
chansons posthumes ou chansons sans musique : Dieu s’il existe, Clairette et la fourmi, Quand les cons sont braves, Le Passéiste, Le Vieux Normand, Les Bacchantes, Le Mécréant repenti, Le Mérinos, Le Myosotis, Le Petit-fils d’Œdipe , Honte à qui peut chanter, Il n’a pas eu la chaude-pisse, L’Antéchrist, L’Auberge du Bon Dieu, L’Enterrement de Paul Fort, La Légion d’honneur, S’faire enculer, Le Pince-fesses, Le Sceptique, Les enfants qui chapardent des crânes terreux, Les Illusions perdues.

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